10 mars 2022 | ADRA Slovénie Facebook et YouTube)
Au Forum stratégique d’ADRA Europe qui se tient cette semaine en Slovénie, nous sommes unis et déterminés à aider ensemble partout où cela est nécessaire !
Thomas Petracek, directeur de programme d’ADRA Europe, lance un appel à l’aide. Soutenez les efforts du réseau ADRA – ce n’est qu’ensemble que nous pouvons réussir.
ADRA travaille sur le terrain dans les pays frontaliers de la Roumanie, de la Pologne, de la Hongrie, de la Slovaquie ainsi qu’en Ukraine avec un haut niveau de qualité et d’activité, et nous avons besoin de ressources pour pouvoir fournir une assistance à long terme sur le terrain.
En savoir plus : https://adra.si/ukrajina/
Texte de la vidéo :
Aujourd’hui, nous sommes ici en Slovénie avec des dirigeants de toute l’Europe qui participent au forum stratégique d’ADRA. J’ai avec moi Thomas Petracek qui est le directeur de programme pour ADRA Europe, et je voudrais demander à Thomas, ce que le réseau ADRA fait sur le terrain après cette crise de conflit en Ukraine ?
Merci beaucoup pour cette invitation. Pour parler des activités en Ukraine, mais pas seulement en Ukraine, car nous sommes également actifs dans les pays voisins, et pas seulement dans les pays voisins, car au fur et à mesure que ces réfugiés continuent à se déplacer, nous sommes également actifs dans d’autres pays d’Europe. Donc de mon point de vue, nous essayons de tout organiser. En Europe, nous avons 30 partenaires qui travaillent avec ADRA Europe dans différents pays et bien sûr, lorsque la crise a commencé, ceux qui sont en première ligne, comme la Roumanie, la Moldavie, puis la Pologne, la Slovaquie, la Hongrie, ont commencé à être actifs.
Qu’est-ce que cela signifie d’être actif ? Si ces réfugiés traversent la frontière, alors nos collègues envoient, avec la corporation, avec les églises, quelques volontaires. Ils ont commencé à ouvrir des endroits d’accueil à la frontière, pour aider les gens, à leur donner aussi des fournitures dont ils ont besoin pour la vie quotidienne. Vous pouvez peut-être imaginer que ces personnes restent là pendant des heures, parfois même durant des jours. Ce sont des femmes avec des enfants. Donc, je dirais que ce soutien frontalier était très important pour nous, pour étudier les activités. C’était la première étape et le premier point pour entrer en contact avec ces personnes. Bien sûr, ce n’est pas suffisant.
Où ces personnes se déplacent-elles ? Certaines d’entre elles se déplacent vers d’autres pays. Elles ont besoin d’informations sur la manière de se déplacer, sur ce qu’elles doivent faire en premier lieu. Des personnes viennent les chercher, certaines sont capables d’organiser leur voyage, d’autres non. Elles restent et c’est pourquoi ADRA a décidé de soutenir celles qui ne sont pas en mesure de continuer vers un autre pays.
(ADRA) a également ouvert une sorte d’abri pour eux, en utilisant les églises. C’est ce qui se passe en ce moment même. Nous avons plusieurs églises, plusieurs entités, pas seulement les églises, mais aussi d’autres entités comme des camps de jeunesse et d’autres, qui sont ouverts pour recevoir les réfugiés. Les réfugiés sont là, certains d’entre eux restent peut-être trois jours ou cinq jours. Nous essayons d’organiser un autre type d’hébergement pour eux. Cela commence à changer d’un point à l’autre au fur et à mesure que les réfugiés arrivent. Nous essayons de comprendre quels sont leurs besoins de base, quels sont leurs projets. Sur cette base, notre réseau essaie d’une manière ou d’une autre de s’adapter à la situation et de répondre aux besoins des gens.
Merci beaucoup. Compte tenu de la situation, comment nos donateurs, nos bénévoles et nos partenaires peuvent-ils nous soutenir lorsque nous intervenons sur le terrain ?
C’est vraiment ce dont nous avons besoin… nous sommes très heureux de cette grande solidarité. Tout le monde veut connaître ce qui se passe en Ukraine et à la frontière. Les gens voient toutes ces images. Les gens viennent et nous donnent des biens, nous donnent quelque chose qu’ils aiment partager. Mais le plus important pour nous est d’obtenir des fonds, car nous pensons qu’il ne s’agit pas d’une crise à court terme. Nous espérons qu’il y aura également des pourparlers et que nous retrouverons bientôt la paix, car toutes ces familles sont maintenant désorganisées. C’est une situation horrible pour elles.
Bien sûr, ADRA ne travaille pas seulement à ces frontières, mais aussi en Ukraine. Par conséquent, nous avons besoin d’argent. Nous avons besoin de ce soutien. Nous sommes très reconnaissants envers ceux qui nous apportent un soutien financier. Nous l’utilisons pour renforcer les capacités et pour envoyer tout le matériel en Ukraine, puis acheter tous les biens en Ukraine pour les personnes qui se trouvent actuellement dans un refuge. C’est peut-être un point, le deuxième point est, je dirais que ce qui est important, c’est d’obtenir une bonne information, parce qu’il y a beaucoup de personnes qui ont le cœur ouvert pour aider, ce qui est certainement une bonne chose. Mais s’il vous plaît, si vous pouvez entrer en contact avec nous, avec ADRA, alors demandez plus d’informations qui sont nécessaires pour comprendre ce qui se passe partout, en Ukraine, mais aussi à la frontière et avec ces réfugiés qui vont continuer à se déplacer vers d’autres pays. Informations et argent.
Merci beaucoup pour ces informations et votre soutien. Nous vous prions de bien vouloir nous suivre sur nos médias sociaux d’ADRA Slovénie et sur notre site web adra.sv. Veuillez partager nos informations et nous soutenir.
Merci beaucoup pour votre soutien.
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