Michael Ryan, assistant du président pour les initiatives, fait sa présentation « Une Grace Suffisamment Grande. » [Photo : Brent Hardinge, Adventist Media Exchange (CC BY 4.0)]
de la Conférence Générale |Le communiqué suivant a été reçu du [bureau] du Président de la Conférence Générale. ~ Les rédacteursMessage et mission étaient au premier plan du Concile Annuel du Comité Exécutif de la Conférence Générale cette année. Cette emphase est apparue de manière très visible lundi matin 11 octobre, à travers le point : « Questions Théologiques auxquelles l’Église doit Faire Face, » avec trois présentations suivies d’une discussion animée de près d’une heure alors que les membres du Comité Exécutif venant du monde entier exprimaient leur ferme soutien aux présentations et leur appréciation pour l’opportunité accordée de discuter de questions importantes.
Les présentations ont été faites par le pasteur Mark Finley, assistant du président pour l’évangélisation ; Dr Artur Stele, vice-président général de la Conférence Générale ; et Dr Michael Ryan, assistant du président pour les initiatives.
En présentant le sujet, Mark Finley a énuméré 10 questions théologiques importantes auxquelles l’Église est confrontée au 21ème siècle, tout en reconnaissant qu’on pourrait en ajouter d’autres. Sa liste comprenait une série de questions et réponses.
1. L’Autorité des Écritures
« La Bible est-elle principalement conditionnée par la culture ? » « La Bible fait-t-elle autorité en matière de science, de prophétie, de normes de vie et de doctrine ? »
Mark Finley a répondu : « Les adventistes du septième jour croient toujours que la Bible est la parole infaillible de Dieu et qu’elle fait autorité. »
2. L’Identité Adventiste
« L’Église adventiste du septième jour est-elle un mouvement divin suscité par Dieu pour préparer un peuple à la venue de Jésus ou est-elle simplement l’une des nombreuses dénominations du paysage religieux ? » « Qui sommes-nous et pourquoi existons-nous ? »
Mark Finley a affirmé : « Les adventistes du septième jour sont un mouvement prophétique ayant un message prophétique et une mission divine. »
3. Interprétation Prophétique
Mark Finley a indiqué que certains au sein de l’Église demandent : « Les prophéties de Daniel et de l’Apocalypse sont-elles toujours d’actualité au 21ème siècle ou devons-nous réévaluer notre compréhension prophétique ? Parlant en s’appuyant sur plusieurs décennies d’expérience, il a répondu : « Les prophéties de Daniel et de l’Apocalypse parlent avec une puissance croissante à une génération des derniers jours. »
4. Création et Évolution
« Les onze premiers chapitres de la Genèse sont-ils un véritable récit historique d’événements ou sont-ils une allégorie visant à expliquer comment Dieu a fait les choses il y a très longtemps ? Ce que l’on croit au sujet de la Création du monde et d’un déluge mondial, fait-il une différence ? »
Affirmant fermement le récit biblique, Mark Finley a déclaré : « Une semaine littérale de création en sept jours et la création constituent une ancre pour toute la Bible et donnent un sens à notre existence ! »
5. Jésus et la Doctrine
« Il y a un mouvement qui prend de l’ampleur, celui de jeunes adventistes qui pensent qu’il y a une distinction entre Jésus et la doctrine, » a dit Mark Finley. « Ils considèrent que l’accent placé sur la doctrine est légaliste et arbitraire. Quelle relation Jésus a-t-il avec les doctrines des Écritures ? » Il a répondu : « Jésus et ses enseignements sont inséparables. Accepter pleinement Christ, c’est accepter pleinement les doctrines qu’il a enseignées.
6. Questions morales s’écartant des Écritures
Pasteur Finley a indiqué que « des questions telles que la cohabitation, le divorce et le remariage non bibliques, et les LBGTQ+, sont des questions auxquelles fait face la direction de l’Église de plus en plus fréquemment. Il a ensuite demandé : « Est-ce manquer d’amour et de bienveillance que de prendre position contre ces pratiques ? » Affirmant que les adventistes du septième jour doivent suivre ce que la Bible enseigne, Mark Finley a déclaré : « Les valeurs bibliques et les claires instructions de Dieu nous appellent à être des lumières dans un monde de ténèbres morales et de confusion. »
7. « La Fatigue liée à l’Avènement »
Reconnaissant que depuis plus de 175 ans, « les adventistes proclament le retour prochain de Jésus, » Mark Finley a posé trois questions directes : « Croyons-nous toujours qu’il revient bientôt ? Est-il non biblique de prêcher la proximité du retour du Christ à la lumière du fait que l’avènement tarde ? Comment pouvons-nous motiver un mouvement à se préparer au retour prochain de notre Seigneur ? »
Encourageant ceux qui souffrent de « fatigue liée à l’avènement » à se tourner à nouveau vers les Écritures, Mark Finley a affirmé : Les adventistes croient toujours, comme l’enseignent les Écritures, que la venue de Jésus est ‘plus près de nous que lorsque nous avons cru.’ »
8. Le Sanctuaire et le Jugement Investigatif
« Depuis la fin des années 1970 et le début des années 1980, un nombre croissant de voix dans la communauté universitaire s’élèvent pour remettre en question la validité de 1844, » a dit Mark Finley. « L’idée d’un sanctuaire céleste est remise en question par beaucoup. Comment l’Église abordera-t-elle ces questions ? » En se basant sur la Parole de Dieu, nous pouvons affirmer que le jugement investigatif et le sanctuaire sont des croyances bibliques valides et sont toujours au cœur de la théologie adventiste, préparant un peuple à la venue de Jésus, a-t-il déclaré.
9. Ellen White et l’Inspiration Divine
Mark Finley a indiqué combien il est important d’écouter les conseils de l’Esprit de Prophétie et a cité une lettre écrite par Ellen White en 1890 :
« Il y a une haine qui est d’origine satanique, qui sera suscitée contre les témoignages. Les œuvres de Satan viseront à saper la foi des églises dans ces témoignages, pour cette raison : Satan ne peut pas avoir un chemin aussi clair pour introduire ses tromperies et lier les âmes dans ses illusions si les avertissements, les réprimandes et les conseils de l’Esprit de Dieu sont écoutés. » (Lettre 40, 1890, 1SM 48).
10. La Nouvelle Image de l’Adventisme
Dans son dernier point, Mark Finley a fait observer l’existence « d’un changement d’emphase dans l’adoration où l’on est passé d’un service biblique, centré sur la Parole, qui transforme la vie, à une forme de culte plus émotionnelle qui met l’accent sur la satisfaction des besoins perçus de « celui qui cherche, » à travers la musique et des sermons narratifs courts plutôt qu’une prédication biblique. »
Contrant cette démarche visant à « changer l’image de l’Église, » Mark Finley a réaffirmé que « les adventistes du septième jour sont un mouvement suscité par Dieu et ayant un message divin et prophétique à apporter au monde basé sur les Écritures, et l’autorité des Écritures nous a guidés et dirigés. »
Autorité des Écritures
La présentation d’Artur Stele a abordé l’autorité des Écritures et la question de l’herméneutique – comment lire et comprendre la Bible. Il a montré comment, depuis le commencement, Satan a poussé les êtres humains à douter de la parole de Dieu et à remettre en question son autorité. Satan utilise toujours ces mêmes tactiques aujourd’hui, a-t-il dit.
Au Moyen Âge, la Bible n’était disponible qu’en latin, ce qui obligeait les prêtres à l’expliquer. L’un des aspects les plus puissants de la Réforme, a déclaré Artur Stele, a été de mettre la Bible à la disposition des gens dans leur propre langue.
Aujourd’hui, Satan attaque la Parole de Dieu de diverses manières, y compris la méthode historico-critique d’interprétation de la Bible, qui considère la Bible comme étant culturellement conditionnée. Artur Stele a indiqué, en contraste, que « s’il est vrai que la Bible est culturellement et historiquement constituée, elle n’est pas culturellement ou historiquement conditionnée. »
En expliquant le processus d’inspiration, Artur Stele a lu dansTémoignages pour l’Église, vol. 5, p. 62 (en anglais): « Dieu était heureux de communiquer Sa vérité au monde par des agences humaines, et Lui-même, par Son Saint-Esprit, a qualifié les hommes et leur a permis de faire Son travail. Il a guidé l’esprit humain dans la sélection de ce qu’il fallait dire et ce qu’il fallait écrire. Le trésor a été confié à des vases d’argile, mais il n’en demeure pas moins qu’il vient du ciel. Le témoignage est véhiculé par l’expression imparfaite du langage humain ; pourtant c’est le témoignage de Dieu ; et l’enfant de Dieu qui est obéissant et croyant y voit la gloire d’une puissance divine. »
Pour ceux qui utilisent une approche critique et postmoderne des Écritures, l’accent passe du texte biblique et du sens voulu par l’auteur, au lecteur qui détermine ce qu’est le sens.
« Au lieu de la démarche théocentrique, nous sommes invités à l’égocentrisme, » a déclaré Artur Stele. Au lieu de demander « Quelle est la vérité ? » « Quelle est la volonté de Dieu ? » les lecteurs sont encouragés à demander : « Qu’est-ce qui est vrai pour moi ? »
En revanche, Artur Stele a déclaré : « Une grande œuvre peut être accomplie en présentant la Bible et son contenutels qu’on peut les lire. . . . rappelant à tous la recommandation du Sauveur: “Sondez les Écritures. » (Évangeliser, p. 391). Artur Stele a ensuite invité chacun à être un étudiant fidèle de la Parole de Dieu, en utilisant une approche centrée sur Dieu dans la lecture et la compréhension des Écritures.
Une Grâce suffisamment grande
Dans sa présentation, « Quelle est la Grandeur de la Grâce ? Michael Ryan a indiqué que certaines personnes au sein des églises et sur les campus adventistes du septième jour prétendent que « la théologie de l’Église [adventiste] est sombre et ne sera jamais acceptée par d’autres églises chrétiennes, qu’elle ne sera jamais adoptée par le monde non chrétien, qu’elle ne fera jamais s’arrêter l’exode de nos jeunes de l’église, et qu’elle n’accordera jamais vraiment à nos membres la liberté accordée dans la Bible, liberté qu’ils définissent comme un style de vie sans limites. Ces voix se font entendre dans nos églises et sur nos campus. Elles sont reflétées dans l’enquête mondiale répertoriant les croyances distinctives qui identifient un reste. Cette culture rampante est réelle, » a-t-il souligné.
Michael Ryan a ensuite expliqué comment les croyances adventistes du septième jour sont remplies de la grâce de Dieu.
« Au cœur de la compréhension de la grandeur de la grâce de Dieu, il doit y avoir la reconnaissance que la grâce de Dieu imprègne absolument chaque recoin du message biblique, » a-t-il déclaré.
Soulignant que la Bible ne fait pas de place à « l’hyper-grâce, » une philosophie affirmant qu’aucune réforme n’est nécessaire dans la vie d’un individu et que « la doctrine biblique est un non-sens [qui] détruit la grâce, » a expliqué Michael Ryan, « les adventistes du septième jour croient qu’embrasser ce que la grâce a apporté étend la grâce. »
Michael Ryan a montré comment les doctrines et la grâce sont intégralement liées et ne peuvent être séparées. « La grâce a apporté des signes de la venue [du Christ]. La grâce a amené la parole de Dieu, » a-t-il déclaré. « La grâce a apporté des promesses. La grâce a apporté la justice de Christ. La grâce a amené le pardon. La grâce a donné un joug qui est facile et un fardeau qui est léger. » Il a ensuite appelé l’Église à se lever et à prêcher le chemin vers la justice de Christ.
Les dirigeants répondent
De nombreux dirigeants ont exprimé leur appréciation pour les présentations et l’opportunité d’en discuter.
« Merci de . . . nous aider à trouver la réalité théologique à laquelle nous sommes confrontés, » a dit Robert Folkenberg Jr., président de l’Union Mission de la Chine. En ce qui concerne la création et l’évolution, Robert Folkenberg a raconté l’histoire d’un nouveau converti à qui on a dit « la Bible est vraie, mais les premiers chapitres ne sont pas vrais – l’évolution c’est vrai. » Le converti a ensuite demandé : « Donc, si les premiers chapitres de la Bible ne sont pas vrais, à quel moment Dieu commence-t-il à dire la vérité ? » Indiquant que la plupart des dénominations ne soutiennent plus la création biblique, Robert Folkenberg a poursuivi en disant : « Je voudrais féliciter cette administration et notre église. . . nous devons demeurer fermes sur la doctrine de Dieu en tant que Créateur de ce monde en sept jours littéraux, même si nous sommes la seule voix qui la défende encore. »
E. Edward Zinke, un membre laïc, a noté qu’au sein de certaines institutions adventistes, « la machine historico-critique est présentée comme le moyen de déterminer la vérité, [où] le monde naturel nie le rôle fondamental de l’Écriture, la Bible est juste « une littérature populaire, » Le principe de la Sola Scriptura est renié, on renie l’expiation substitutive, la théologie de la libération et l’évolution théiste [sont enseignées], on renie la valeur de la prière, on renie le fait que Dieu agit dans l’histoire et que la Bible est le récit de ces actes. . . . Pour moi, c’est une question morale pour nous de prétendre être une institution adventiste du septième jour et de ne pas tenir cette promesse, » a dit Edward Zinke. « Notre travail consiste à enseigner à nos étudiants à penser de manière biblique, pas de manière critique. »
Parlant de son expérience personnelle, Kathryn Proffitt, membre laïc de l’Union du Pacifique, a raconté comment son fils aîné est devenu athée après avoir appris l’évolution théiste dans une université adventiste. Il a ensuite convaincu ses trois jeunes frères et sœurs qu’il n’y a pas de Dieu. « Il y a quatre ans, son jeune frère est mort et est allé dans la tombe sans l’espérance de l’évangile, » a déclaré Kathryn Proffitt. « Frères et sœurs, chacune de ces doctrines est sérieuse et il y a des conséquences éternelles. Aucun parent ne devrait avoir à faire face à la possibilité de perdre ses enfants pour l’éternité à cause de ce qu’ils ont entendu à l’église ou de ce qu’on leur a enseigné à l’école. . . . il nous faut donner l’exemple du retour aux enseignements clairs des Écritures, » a-t-elle déclaré. « C’est notre devoir et des vies éternelles sont en jeu. »
Barna Magyarosi, secrétaire de la Division Inter-Européenne, a exprimé sa préoccupation pour les jeunes aux prises avec des questions. « Je pense qu’en tant que dirigeants, nous devons être en mesure de créer une plate-forme, avec nos théologiens, où des discussions honnêtes peuvent avoir lieu et où les vrais problèmes sont soulevés et abordés. . . où nous pouvons offrir à nos jeunes intellectuels des réponses intelligentes bien documentées et fondées sur la Bible. . . . Nous avons la plupart de ces réponses, sinon toutes, » a-t-il ajouté. « Je pense qu’avec un effort concerté des pasteurs, des enseignants, des théologiens et des administrateurs, nous pouvons faire en sorte que ces jeunes défendent ce en quoi nous croyons. »
« J’apprécie profondément ces discussions, » a déclaré Kwame Kwanin, président de l’Union du Nord du Ghana, qui a dit que les sujets de préoccupation étaient « des signes des temps. » Il a insisté sur le fait que « nous ne devrions pas limiter ce que nous étudions maintenant au Concile Annuel ou à la division. Nous devons faire en sorte que cela parvienne à toutes nos églises, et en faire une occasion de réveil pour chaque membre. . . . Nous devons nourrir et entourer nos membres, en particulier les jeunes . . . pour qu’ils puissent apprécier la vérité que possède l’Église adventiste du septième jour.
Primauté des Écritures
Richard McEdward, président de l’Union Mission du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord, a affirmé l’importance des Écritures pour résoudre les problèmes théologiques auxquels l’Église est confrontée. « Je crois que toutes ces questions ramènent fondamentalement à la primauté des Écritures, » a déclaré Richard McEdward. Il a suggéré comme remède d’établir l’habitude du culte individuel et familial au cours duquel la Bible est lue. « La Parole de Dieu a un impact transformationnel dans la vie des gens. Nous devons faire de notre mieux pour nous réapproprier la Parole de Dieu à travers une lecture profonde mais simple avec nos familles et nos enfants, afin qu’ils fassent également partie de la mission confiée par Dieu et consistant à se tourner vers les autres parce qu’ils ont été transformés par la Parole de Dieu. »
Derek Morris, président de Hope Channel International, a réaffirmé la primauté des Écritures. « Je pense que la meilleure façon de relever ces défis est de prêcher et d’enseigner clairement la Parole de Dieu, » a-t-il déclaré. « J’encourage tous ceux qui sont ici, et ceux qui écoutent, à vivre ce que nous avons appris et à être des prédicateurs et des enseignants audacieux de la Parole de Dieu. »
Alberto Timm, directeur adjoint du Ellen G. White Estate, a déclaré : « L’époque dans laquelle nous vivons est pleine de défis, tout est fluide, y compris la Parole de Dieu. » Alberto Timm a rappelé au Comité Exécutif la déclaration d’Ellen White tirée de La Tragédie des Siècles, page 605, où elle avertit que des démons incarneront les apôtres du Christ pour contredire et même changer ce qu’« ils » ont écrit dans les évangiles. Alberto Timm a souligné l’importance d’accepter l’autorité de la Parole de Dieu et de ses enseignements maintenant. « Si vous n’êtes pas solide dans ce domaine, » a-t-il dit, il sera très facile d’être trompé. »
En répondant aux préoccupations concernant les institutions éducatives de la dénomination, Lisa Beardsley-Hardy, directrice du Département de l’Éducation de la Conférence Générale, a référé au Comité International de l’Éducation Pastorale et Théologique (IBMTE). Ce comité de surveillance établit des critères de compétence pour les pasteurs, établit la liste des qualifications requises pour ceux qui enseignent aux séminaristes et qui enseignent la religion dans les écoles adventistes, et propose un processus d’approbation pour ces enseignants. « À ce jour, » a-t-elle déclaré, « dix divisions l’ont mis en place et plus de 500 professeurs ont été approuvés. »
Ella Simmons, vice-présidente de la Conférence Générale a souligné l’importance non seulement d’enseigner la vérité, mais aussi de la vivre. Elle et Jan Paulsen, ancien président de la Conférence Générale, ont posé des questions sur les plans futurs pour résoudre les problèmes soulevés.
Prêcher la vérité et la vivre
Ted N. C. Wilson, actuel président de la Conférence Générale, a expliqué que l’objectif des présentations était « d’alerter chacun de nous à nouveau au sujet de ce à quoi nous sommes confrontés. » Il a indiqué que voter simplement une décision ne serait pas très efficace à moins que « chacun d’entre nous, non seulement ne prêche la pure vérité, mais, comme l’a dit Ella Simmons, vive la pure vérité. » Il a fait remarquer que cela ne pouvait être fait que par la justice de Christ. « Cela doit être quelque chose que chacun de nous doit vraiment prendre à cœur, » a-t-il déclaré. « Tous ceux qui assistent au Concile Annuel sont des leaders. Laissez Dieu parler à travers vous ! Notre peuple veut vous entendre dire toute la vérité ! »
Ted Wilson a également mentionné d’autres moyens que l’Église peut utiliser pour proclamer la Parole de Dieu, y compris les plateformes des médias, l’Institut de Recherche Biblique, l’Institut de Recherche Géoscientifique, l’Association Pastorale, entre autres.
« Ne laissez pas passer une opportunité sans souligner la véracité absolue de la Parole de Dieu – de Genèse 1 à Apocalypse 22 – chaque chapitre, chaque verset, chaque mot. Nous ne croyons pas à « l’inspiration des mots, » nous croyons à l’inspiration de la pensée. Mais la Parole de Dieu est absolument vitale. Travaillons ensemble de manière très importante, » a-t-il encouragé.
Du matériel des trois présentations est disponible en téléchargement, ainsi que le lien vidéo pour regarder les présentations et les discussions sur https://executivecommittee.adventist.org/blog/2021/10/09/21ac-presentations/
Traduction: Patrick Luciathe